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Le champs des possibles reste ouvert... (Sandrine 5/5)

  • Photo du rédacteur: Les Cueilleurs d'Histoires
    Les Cueilleurs d'Histoires
  • 19 mai 2023
  • 2 min de lecture

Aujourd’hui, j’ai un poste au sein du comité de direction, et je partage sur la stratégie de l’entreprise, sur ses perspectives, je contribue à son développement, je mène de la concertation avec les habitants. C’est un poste très large et dans lequel j’ai beaucoup de latitude, et ça, c’est un bonheur immense au quotidien.



Et puis, il y a quelques temps, je me suis rendue compte que j’avais toujours en tête un petit goût d’inachevé. Je suis allée jusqu’en licence, ça m’est toujours resté en travers de la gorge.

J’arrivais à presque 50 ans, je me suis dit : « Bon, c’est le moment, d’ailleurs on va travailler assez longuement, il n’est pas trop tard pour continuer à se former. J’ai donc passé un master de dirigeant du logement social, à l’université Dauphine, à Paris.

Je ne sais pas ce que je ferai demain mais il y a plein de pistes qui s’ouvrent à moi, et ça, c’est chouette.


Ce que je retire de mon expérience, c’est l’importance d’encourager les élèves à croire en leur potentiel d’où qu’ils viennent. C’est hyper important, plutôt que de dire « Ben non, cette école-là elle n’est pas pour toi, ça va être trop compliqué ».


J’ai envie que tout le monde ait des rêves, qu’ils se réalisent ou non, mais au moins que le champ des possibles soit ouvert. L’autre élément important c’est de savoir s’entourer de son réseau familial, de ses amis. Se constituer un réseau, ce n’est pas toujours simple, mais maintenant, avec l’alternance, c’est un bon moyen de s’ouvrir au monde du travail et de se constituer un réseau, il y a aussi des dispositifs comme « Nos quartiers ont du talent»… Il y a tout un réseau qui peut aider à compléter ce sur quoi on a peut-être moins de connaissances, ça c’est important.

 
 
 

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