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Un parcours fluide jusqu'au lycée (Charles 1/5)

  • Photo du rédacteur: Les Cueilleurs d'Histoires
    Les Cueilleurs d'Histoires
  • 11 mai 2023
  • 1 min de lecture

Touche à tout, Charles nous emporte dans le tourbillon de ses multiples casquettes.


J’ai 43 ans. J’ai fait la maternelle à Lamartine, la primaire à l’école Valmy, le collège à Marcel Pagnol, puis je suis allé au lycée Françoise de Grâce. J’ai le sentiment d’avoir vécu une très belle enfance, une très belle adolescence avec des parents, des grands frères et des grandes sœurs très aimants.


J’ai une pathologie au membre supérieur droit, mais pendant toute mon enfance, j’ai eu la chance que mes parents m’aient toujours considéré comme quelqu’un de normal.

J’ai bien vécu le collège, mais je ne me projetais pas dans la suite. J’avais une vie paisible, maman était derrière nous, avec les grandes sœurs, elle nous demandait uniquement de bien travailler à l’école.


J’ai toujours fait de l’UNSS. C’était une façon d’occuper le temps libre, c’était se retrouver avec des amis. Il y avait aussi cette culture du collège : « c’est mon collège qui a gagné ! ». Je me souviens aussi de Mr Bossard, le prof d’arts plastiques qui nous emmenait aux Essarts pour faire du vitrail ! Il m’avait conseillé d’aller aux Beaux-Arts, mais le sport a pris le dessus.



Le 1er choc que j’ai eu, c’est en arrivant en 3ème, au moment des vœux pour la seconde. Je voulais faire une formation dans tout ce qui était papier peint, finitions… Mon prof principal m’a dit que ce ne serait pas possible. On choisissait mon orientation à ma place, par rapport à ma pathologie. Je suis allé au lycée Françoise de Grâce, et j’ai fait agent de transport... ça ne m’a pas plu du tout.



 
 
 

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